A l'écoute de soi

Au quotidien rare sont les moments d’attention pour ressentir son corps. Avec la fasciapulsologie, la personne qui reçoit s’accorde une pause, elle est en mode parasympathique, dans une profonde détente. Elle écoute son corps, les tensions et les émotions s’expriment, le corps peut alors libérer sa propre réponse.

Détendu au travail

Dans notre vie professionnel, la tendance aujourd’hui est d’être toujours plus efficace, productif et disponible avec pour conséquence beaucoup de stress. Fatigue, insomnie, nervosité, trouble de l’attention… La personne lors d’une séance de fasciapulsologie s’autorise une pause, elle écoute ses émotions, les tensions internes se dénouent, le corps retrouve une dynamique, le système nerveux s’apaise. S’ensuit une meilleure gestion du quotidien et des habitudes.

Pratique sportive

Lors d’efforts sportifs intenses, le corps a besoin rapidement de libérer une grande source d’énergie, de récupérer, d’évacuer les toxines. Après quelques séances de fasciapulsologie les sportifs perçoivent une meilleure récupération, des améliorations au niveau des douleurs chroniques : adducteurs, chevilles, tendons d’Achille, viscéral… Lors de suites opératoires, en complément de la rééducation, ils retrouvent de la mobilité et de la souplesse dans les tissus et la zone cicatricielle.

En forme pendant 9 mois

Changements hormonaux, métaboliques (volume sanguin, lipides, taux de sucre), rythme cardiaque, digestion… A partir du 4e mois, la femme enceinte peut recevoir une séance en fonction du stade de sa grossesse. Elle est ressent moins les effets indésirables et est plus détendu lors de la venue au monde de son enfant. Après l’accouchement, le travail du petit bassin l’aide à retrouver un nouvel équilibre interne.

Un rôle actif dans sa santé

La médecine intégrative allie les médecines complémentaires et parallèles aux traitements conventionnels. La fasciapulsologie  intègre les besoins physiques, émotionnels et spirituels de la personne ainsi qu’à ceux touchant sa qualité de vie. La personne supporte ainsi mieux les effets secondaires des traitements.